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Max Sorre, une écologie humaine / Dylan Simon
Titre : Max Sorre, une écologie humaine : penser la géographie comme science de l'homme Type de document : texte imprimé Auteurs : Dylan Simon, Auteur ; Maximilien Sorre, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éditions de la Sorbonne Année de publication : DL 2021 Collection : Homme et société Sous-collection : Histoire environnementale num. 69 Importance : 1 vol. (319 p.) Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-351-0632-4 Note générale : Bibliogr. p. 283-304. Index Langues : Français (fre) Sujets : biographie ; Géographe ; Géographie ; Géographie Humaine ; marxisme ; SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Index. décimale : 3680 Géographie, éveil géographique, notion d'espace Résumé : 4e de couverture :
"Construire la géographie comme une écologie humaine, tel fut le projet de Max Sorre (1880-1962). Cette biographie inédite retrace la trajectoire de ce pionnier de la pensée écologique, tout à la fois géographe de terrain, théoricien et savant encyclopédiste. Par son œuvre, qui s'attache aux relations entre l’homme et son environnement, il s’est intéressé à des questions jusque là délaissées par les sciences sociales, comme les maladies, l’alimentation, le climat, les genres de vie, le rapport des sociétés aux végétaux et aux animaux, ou encore la mobilité.
L’œuvre de Sorre est dense, depuis sa thèse en 1913, Pyrénées méditerranéennes, à son essai de 1961 L’Homme sur la Terre, en passant par Les fondements de la géographie humaine (1943-1952). Élève de Paul Vidal de La Blache, formé à l’écologie végétale par Charles Flahault, il a traversé de multiples scènes savantes : à l’université de Lille, à la Sorbonne, au Centre universitaire méditerranéen, à la direction de l’Enseignement primaire, au sein des réseaux résistants, au Centre d’études sociologiques qu’il dirige dans les années 1950, il collabore avec des scientifiques de tous horizons, multipliant avec eux les échanges intellectuels.
Le portrait brossé dans ce livre, loin de faire l’hagiographie d’un classique, replace ainsi Max Sorre dans les pratiques, les discussions savantes et les controverses de son temps. Dévoilant une part importante et méconnue de la tradition écologique, dans la diversité de ses origines et de ses redéploiements, cette biographie dessine une histoire collective des sciences humaines aux prises avec l’environnement."Note de contenu : Sommaire :
Introduction
Première partie — UNE SINGULARISATION SAVANTE EN GÉOGRAPHIE (1895-1943)
Chapitre 1. S’inscrire dans une communauté savante (1895-1913)
Chapitre 2. Pratiquer le métier de géographe (1913-1931)
Chapitre 3. Construire une écologie humaine en géographie (1917-1943)
Deuxième partie. UN GÉOGRAPHE PAR « SOMBRES TEMPS » (1931-1945)
Chapitre 4. S’investir dans le champ politique (1931-1939)
Chapitre 5. Les bouleversements d’une identité savante (1939-1945)
Troisième partie. INCARNER LA GÉOGRAPHIE DANS LES SCIENCES DE L’HOMME (1944-1962)
Chapitre 6. La géographie dans l’après-guerre, entre affirmations et tensions identitaires (1944-1949)
Chapitre 7. Rénover la géographie humaine (1945-1957)
Chapitre 8. L’écologie ou le marxisme, un temps de controverses (1944-1956)
Chapitre 9. Dialoguer avec les sciences humaines (1946-1962)
ConclusionPermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22259 Max Sorre, une écologie humaine : penser la géographie comme science de l'homme [texte imprimé] / Dylan Simon, Auteur ; Maximilien Sorre, Préfacier, etc. . - Paris : Éditions de la Sorbonne, DL 2021 . - 1 vol. (319 p.) : ill. ; 24 cm. - (Homme et société. Histoire environnementale; 69) .
ISBN : 979-10-351-0632-4
Bibliogr. p. 283-304. Index
Langues : Français (fre)
Sujets : biographie ; Géographe ; Géographie ; Géographie Humaine ; marxisme ; SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Index. décimale : 3680 Géographie, éveil géographique, notion d'espace Résumé : 4e de couverture :
"Construire la géographie comme une écologie humaine, tel fut le projet de Max Sorre (1880-1962). Cette biographie inédite retrace la trajectoire de ce pionnier de la pensée écologique, tout à la fois géographe de terrain, théoricien et savant encyclopédiste. Par son œuvre, qui s'attache aux relations entre l’homme et son environnement, il s’est intéressé à des questions jusque là délaissées par les sciences sociales, comme les maladies, l’alimentation, le climat, les genres de vie, le rapport des sociétés aux végétaux et aux animaux, ou encore la mobilité.
L’œuvre de Sorre est dense, depuis sa thèse en 1913, Pyrénées méditerranéennes, à son essai de 1961 L’Homme sur la Terre, en passant par Les fondements de la géographie humaine (1943-1952). Élève de Paul Vidal de La Blache, formé à l’écologie végétale par Charles Flahault, il a traversé de multiples scènes savantes : à l’université de Lille, à la Sorbonne, au Centre universitaire méditerranéen, à la direction de l’Enseignement primaire, au sein des réseaux résistants, au Centre d’études sociologiques qu’il dirige dans les années 1950, il collabore avec des scientifiques de tous horizons, multipliant avec eux les échanges intellectuels.
Le portrait brossé dans ce livre, loin de faire l’hagiographie d’un classique, replace ainsi Max Sorre dans les pratiques, les discussions savantes et les controverses de son temps. Dévoilant une part importante et méconnue de la tradition écologique, dans la diversité de ses origines et de ses redéploiements, cette biographie dessine une histoire collective des sciences humaines aux prises avec l’environnement."Note de contenu : Sommaire :
Introduction
Première partie — UNE SINGULARISATION SAVANTE EN GÉOGRAPHIE (1895-1943)
Chapitre 1. S’inscrire dans une communauté savante (1895-1913)
Chapitre 2. Pratiquer le métier de géographe (1913-1931)
Chapitre 3. Construire une écologie humaine en géographie (1917-1943)
Deuxième partie. UN GÉOGRAPHE PAR « SOMBRES TEMPS » (1931-1945)
Chapitre 4. S’investir dans le champ politique (1931-1939)
Chapitre 5. Les bouleversements d’une identité savante (1939-1945)
Troisième partie. INCARNER LA GÉOGRAPHIE DANS LES SCIENCES DE L’HOMME (1944-1962)
Chapitre 6. La géographie dans l’après-guerre, entre affirmations et tensions identitaires (1944-1949)
Chapitre 7. Rénover la géographie humaine (1945-1957)
Chapitre 8. L’écologie ou le marxisme, un temps de controverses (1944-1956)
Chapitre 9. Dialoguer avec les sciences humaines (1946-1962)
ConclusionPermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22259 Exemplaires (1)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité 3680SIM1514M 174106 Livre ESPACE 1 Disponible Qu'est-ce qu'une éducation féministe ? / Vanina Mozziconacci
Titre : Qu'est-ce qu'une éducation féministe ? : égalité, émancipation, utopie Type de document : texte imprimé Auteurs : Vanina Mozziconacci, Auteur ; Nicole Mosconi, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éditions de la Sorbonne Année de publication : DL 2022 Collection : Philosophies pratiques Importance : 1 vol. (409 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-351-0671-3 Langues : Français (fre) Sujets : éducation des femmes ; éducation selon le sexe ; égalité des sexes ; féminisme ; pédagogie féministe Mots-clés : théorie du genre care Index. décimale : 2420 Éducation des filles Résumé : 4e de couverture :
"À l'heure où la défense des « éducations à l'égalité » semble plus audible et plus urgente et où les polémiques autour de la « théorie du genre » à l'école dramatisent la nécessité de se positionner en tant que féministe sur le terrain éducatif, cet ouvrage constitue une rupture épistémologique avec des impératifs tactiques qui semblent s'imposer d'eux-mêmes. En refusant de considérer qu'il va de soi que l'éducation est une modalité de la lutte féministe, l'autrice se propose de faire un pas de côté afin de mener un travail de clarification conceptuelle. Il s'agit ici de suspendre le postulat selon lequel l'éducation serait une évidence féministe pour laquelle les seules questions qui persistent seraient d'ordre technique, et se réduiraient au « comment faire ? », afin de revenir à une interrogation plus fondamentale, celle du « pourquoi faire ? ». En effet, si l'éducation est bien omniprésente historiquement dans les revendications féministes, sa place mérite d'être problématisée philosophiquement. Alors même que le féminisme connaît de nombreuses transformations et variations, l'éducation en est une constante historique, et c'est précisément pour cela qu'elle mérite d'être étudiée de façon critique : la forte persistance de cette tradition jette en effet un soupçon sur sa consistance théorique et politique. De l'éducation conçue comme un droit auquel les femmes devraient également avoir accès jusqu'aux institutions éducatives utopiques qui subvertissent la frontière entre privé et public, en passant par la coéducation, la sororité émancipatrice et les pédagogies féministes, cette recherche vise à mettre en lumière les partis-pris épistémologiques, les dialectiques et les tensions qui traversent la conceptualisation de l'éducation au prisme des féminismes."Note de contenu : Sommaire :
P. 11. Préface
P. 17. Introduction générale
Première partie. Du sujet social individuel au sujet politique collectif. De l'égalité à l’émancipation par l’éducation
P. 33. Introduction
P. 39. Chapitre 1. Première vague. L’éducation à partir de l’égalité des droits
P. 95. Chapitre 2. Deuxième vague. De la socialisation-domination à l’éducation-émancipation ? Une sociologie féministe, critique et radicale: l’éducation comme socialisation
Deuxième partie. Des groupes de conscience à la conscientisation pédagogique : de la subjectivation à l’assujettissement ?
P. 163. Introduction
P. 175. Chapitre 1. La pédagogie critique féministe : la subjectivation est une conscientisation
P. 237. Chapitre 2. Contre l’assujettissement pédagogique: la critique post-structuraliste féministe
Troisième partie. Une utopie radicale. Les institutions éducatives d’un féminisme matérialiste de care
P. 275. Introduction
P. 287. Chapitre1. L’éducation au prisme d’un projet politique de care
P. 307. Chapitre 2. D’une cartographie sociale démocratisant le travail « reproductif »
P. 353. Conclusion généralePermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21740 Qu'est-ce qu'une éducation féministe ? : égalité, émancipation, utopie [texte imprimé] / Vanina Mozziconacci, Auteur ; Nicole Mosconi, Préfacier, etc. . - Paris : Éditions de la Sorbonne, DL 2022 . - 1 vol. (409 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Philosophies pratiques) .
ISBN : 979-10-351-0671-3
Langues : Français (fre)
Sujets : éducation des femmes ; éducation selon le sexe ; égalité des sexes ; féminisme ; pédagogie féministe Mots-clés : théorie du genre care Index. décimale : 2420 Éducation des filles Résumé : 4e de couverture :
"À l'heure où la défense des « éducations à l'égalité » semble plus audible et plus urgente et où les polémiques autour de la « théorie du genre » à l'école dramatisent la nécessité de se positionner en tant que féministe sur le terrain éducatif, cet ouvrage constitue une rupture épistémologique avec des impératifs tactiques qui semblent s'imposer d'eux-mêmes. En refusant de considérer qu'il va de soi que l'éducation est une modalité de la lutte féministe, l'autrice se propose de faire un pas de côté afin de mener un travail de clarification conceptuelle. Il s'agit ici de suspendre le postulat selon lequel l'éducation serait une évidence féministe pour laquelle les seules questions qui persistent seraient d'ordre technique, et se réduiraient au « comment faire ? », afin de revenir à une interrogation plus fondamentale, celle du « pourquoi faire ? ». En effet, si l'éducation est bien omniprésente historiquement dans les revendications féministes, sa place mérite d'être problématisée philosophiquement. Alors même que le féminisme connaît de nombreuses transformations et variations, l'éducation en est une constante historique, et c'est précisément pour cela qu'elle mérite d'être étudiée de façon critique : la forte persistance de cette tradition jette en effet un soupçon sur sa consistance théorique et politique. De l'éducation conçue comme un droit auquel les femmes devraient également avoir accès jusqu'aux institutions éducatives utopiques qui subvertissent la frontière entre privé et public, en passant par la coéducation, la sororité émancipatrice et les pédagogies féministes, cette recherche vise à mettre en lumière les partis-pris épistémologiques, les dialectiques et les tensions qui traversent la conceptualisation de l'éducation au prisme des féminismes."Note de contenu : Sommaire :
P. 11. Préface
P. 17. Introduction générale
Première partie. Du sujet social individuel au sujet politique collectif. De l'égalité à l’émancipation par l’éducation
P. 33. Introduction
P. 39. Chapitre 1. Première vague. L’éducation à partir de l’égalité des droits
P. 95. Chapitre 2. Deuxième vague. De la socialisation-domination à l’éducation-émancipation ? Une sociologie féministe, critique et radicale: l’éducation comme socialisation
Deuxième partie. Des groupes de conscience à la conscientisation pédagogique : de la subjectivation à l’assujettissement ?
P. 163. Introduction
P. 175. Chapitre 1. La pédagogie critique féministe : la subjectivation est une conscientisation
P. 237. Chapitre 2. Contre l’assujettissement pédagogique: la critique post-structuraliste féministe
Troisième partie. Une utopie radicale. Les institutions éducatives d’un féminisme matérialiste de care
P. 275. Introduction
P. 287. Chapitre1. L’éducation au prisme d’un projet politique de care
P. 307. Chapitre 2. D’une cartographie sociale démocratisant le travail « reproductif »
P. 353. Conclusion généralePermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21740 Exemplaires (1)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité 2420MOZ2609Q 171407 Livre ESPACE 1 Disponible