Titre : |
Fin de récré pour la mixité : égalité entre les femmes et les hommes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pascale Gruber, Auteur |
Editeur : |
Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente |
Année de publication : |
DL 2017 |
Importance : |
1 vol. (18 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. |
Langues : |
Français (fre) |
Sujets : |
égalité des sexes ; mixité ; mixité scolaire
|
Résumé : |
source de l'éditeur :
"En 1970, lorsque la mixité s’est progressivement imposée à l'école jusqu’à devenir obligatoire, on pensait avoir franchi une étape importante dans le processus égalitaire des genres. Près de 50 ans plus tard, malgré plusieurs générations éduquées dans la mixité, force est de constater que filles et garçons ne bénéficient toujours pas des mêmes chances. Pourquoi la mixité scolaire n’a-t-elle pas produit les effets attendus ?
Les résultats de plusieurs analyses démontrent que les professeurs perpétuent les stéréotypes de genre au travers de leur enseignement. Ils sembleraient penser que les filles réussissent mieux que les garçons non pas grâce à leurs talents ou capacités mais grâce à leur rigueur dans le travail. Si le système scolaire mixte ne profite pas aux filles, l’inverse n’est pas vrai pour les garçons qui ont de meilleurs résultats dans des groupes mixtes que dans des groupes exclusivement masculins.
Les pionniers se sont-ils trompés de combat lorsqu’ils ont imposé l’idée de la mixité à l’école ? Faudrait-il la supprimer ou se contenter de former les enseignants à la thématique ? L’idéal serait-il une solution entre deux : donner certains cours (les mathématiques, les sciences, les langues) séparément ?
La non-mixité n’est pas une revendication qui se cantonne au milieu scolaire. Selon les féministes engagées, les activités non-mixtes représentent un outil politique destiné à permettre l’émancipation du genre opprimé. La séparation serait-elle la solution ? Mènerait-elle à une véritable égalité hommes-femmes ? Au contraire, annoncerait-elle davantage de divisions, d’incompréhensions, de rejets, de luttes de pouvoir ?
Pour alimenter le débat, la brochure Fin de récré pour la mixité s’appuie sur :
« Les garçons, ils sont trop bêtes ! »
Petit détour parlant (et par la langue)
Les filles ont (le) mauvais genre
Parce qu’ils/elles y croyaient
Sauvée par l’argent !
La révolution n’est pas passée par là
Une recette qui ne marche pas
Et ça continue encore et encore…
Mixité : la récré est finie
T’es pas de ma bande
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics." |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20189 |
Fin de récré pour la mixité : égalité entre les femmes et les hommes [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2017 . - 1 vol. (18 p.) : ill., couv. ill. Langues : Français ( fre)
Sujets : |
égalité des sexes ; mixité ; mixité scolaire
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Résumé : |
source de l'éditeur :
"En 1970, lorsque la mixité s’est progressivement imposée à l'école jusqu’à devenir obligatoire, on pensait avoir franchi une étape importante dans le processus égalitaire des genres. Près de 50 ans plus tard, malgré plusieurs générations éduquées dans la mixité, force est de constater que filles et garçons ne bénéficient toujours pas des mêmes chances. Pourquoi la mixité scolaire n’a-t-elle pas produit les effets attendus ?
Les résultats de plusieurs analyses démontrent que les professeurs perpétuent les stéréotypes de genre au travers de leur enseignement. Ils sembleraient penser que les filles réussissent mieux que les garçons non pas grâce à leurs talents ou capacités mais grâce à leur rigueur dans le travail. Si le système scolaire mixte ne profite pas aux filles, l’inverse n’est pas vrai pour les garçons qui ont de meilleurs résultats dans des groupes mixtes que dans des groupes exclusivement masculins.
Les pionniers se sont-ils trompés de combat lorsqu’ils ont imposé l’idée de la mixité à l’école ? Faudrait-il la supprimer ou se contenter de former les enseignants à la thématique ? L’idéal serait-il une solution entre deux : donner certains cours (les mathématiques, les sciences, les langues) séparément ?
La non-mixité n’est pas une revendication qui se cantonne au milieu scolaire. Selon les féministes engagées, les activités non-mixtes représentent un outil politique destiné à permettre l’émancipation du genre opprimé. La séparation serait-elle la solution ? Mènerait-elle à une véritable égalité hommes-femmes ? Au contraire, annoncerait-elle davantage de divisions, d’incompréhensions, de rejets, de luttes de pouvoir ?
Pour alimenter le débat, la brochure Fin de récré pour la mixité s’appuie sur :
« Les garçons, ils sont trop bêtes ! »
Petit détour parlant (et par la langue)
Les filles ont (le) mauvais genre
Parce qu’ils/elles y croyaient
Sauvée par l’argent !
La révolution n’est pas passée par là
Une recette qui ne marche pas
Et ça continue encore et encore…
Mixité : la récré est finie
T’es pas de ma bande
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics." |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20189 |
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