Titre : |
Kinshasa kids |
Type de document : |
document multimédia |
Auteurs : |
Marc-Henri Wajnberg, Auteur |
Editeur : |
Waynbrosse films |
Année de publication : |
2012 |
Importance : |
1 DVD (82') |
Présentation : |
ill. en coul. ; couv. ill. en coul. |
Accompagnement : |
1 dossier pédagogique |
Langues : |
Français (fre) Anglais (eng) Néerlandais (dut) Espagnol (spa) Langues originales : Français (fre) Lingala (lin) |
Sujets : |
droit à l'éducation ; droits de l'enfant ; travail des enfants
|
Mots-clés : |
Pauvreté enfants des rues |
Résumé : |
"
Kinshasa se densifie chaque jour de manière incontrôlable et n’offre souvent qu’une vie misérable aux nouveaux arrivants. Cette situation de grande pauvreté crée un climat socialement invivable, où l’on cherche les responsables à tous les maux. Sous l’influence de prédicateurs exorcistes, certains enfants sont ainsi désignés comme de petits sorciers habités par le diable. Le film de Marc-Henri Wajnberg s’ouvre sur une séance d’exorcisme au cours de laquelle les enfants « diaboliques » sont soumis à différentes pratiques censées les rendre purs. Si l’on constate que le diable ne les quitte pas, ils sont tout simplement expulsés de leur foyer et menacés de mort. C’est ainsi que des dizaines de milliers d’enfants, véritables boucs émissaires de la société congolaise, sont abandonnés dans les rues de Kinshasa.
Kinshasa Kids évolue entre la fiction et le documentaire. Nous suivons le parcours de huit enfants. Les histoires des uns et des autres s’entremêlent, les personnages se croisent, se lient et se séparent. La musique est tout le temps présente dans le film. Musique classique, pop ou rap, à une ou plusieurs voix, elle crée du lien, encourage la solidarité et apporte de l’espoir, de la liberté et du rêve. Les huit enfants, tous considérés comme des enfants sorciers, veulent former un groupe de rap pour s’exprimer et conjurer leur sort. Ils espèrent gagner de l’argent pour se sortir de la misère et entreprendre des études. Avec des instruments bricolés, ils commencent à répéter et sont prêts à tout pour faire aboutir leur projet. Ils se choisissent un nom de scène, « Le diable n’existe pas », un pied de nez à leurs parents." - résumé provient du site Annoncer La Couleur |
Note de contenu : |
Bonus :
- Interview du directeur et des enfants
- Répétitions : séquences
- Clip & musique |
Public cible : |
Secondaire |
Thème ALC : |
Droits humains/Justice sociale |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19689 |
Kinshasa kids [document multimédia] / Marc-Henri Wajnberg, Auteur . - Waynbrosse films, 2012 . - 1 DVD (82') : ill. en coul. ; couv. ill. en coul. + 1 dossier pédagogique. Langues : Français ( fre) Anglais ( eng) Néerlandais ( dut) Espagnol ( spa) Langues originales : Français ( fre) Lingala ( lin)
Sujets : |
droit à l'éducation ; droits de l'enfant ; travail des enfants
|
Mots-clés : |
Pauvreté enfants des rues |
Résumé : |
"
Kinshasa se densifie chaque jour de manière incontrôlable et n’offre souvent qu’une vie misérable aux nouveaux arrivants. Cette situation de grande pauvreté crée un climat socialement invivable, où l’on cherche les responsables à tous les maux. Sous l’influence de prédicateurs exorcistes, certains enfants sont ainsi désignés comme de petits sorciers habités par le diable. Le film de Marc-Henri Wajnberg s’ouvre sur une séance d’exorcisme au cours de laquelle les enfants « diaboliques » sont soumis à différentes pratiques censées les rendre purs. Si l’on constate que le diable ne les quitte pas, ils sont tout simplement expulsés de leur foyer et menacés de mort. C’est ainsi que des dizaines de milliers d’enfants, véritables boucs émissaires de la société congolaise, sont abandonnés dans les rues de Kinshasa.
Kinshasa Kids évolue entre la fiction et le documentaire. Nous suivons le parcours de huit enfants. Les histoires des uns et des autres s’entremêlent, les personnages se croisent, se lient et se séparent. La musique est tout le temps présente dans le film. Musique classique, pop ou rap, à une ou plusieurs voix, elle crée du lien, encourage la solidarité et apporte de l’espoir, de la liberté et du rêve. Les huit enfants, tous considérés comme des enfants sorciers, veulent former un groupe de rap pour s’exprimer et conjurer leur sort. Ils espèrent gagner de l’argent pour se sortir de la misère et entreprendre des études. Avec des instruments bricolés, ils commencent à répéter et sont prêts à tout pour faire aboutir leur projet. Ils se choisissent un nom de scène, « Le diable n’existe pas », un pied de nez à leurs parents." - résumé provient du site Annoncer La Couleur |
Note de contenu : |
Bonus :
- Interview du directeur et des enfants
- Répétitions : séquences
- Clip & musique |
Public cible : |
Secondaire |
Thème ALC : |
Droits humains/Justice sociale |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19689 |
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