Titre : |
Pour une école publique émancipatrice |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Véronique Decker, Auteur |
Editeur : |
Paris : Libertalia |
Année de publication : |
cop. 2019, dl. 2019 |
Collection : |
N'autre école num. 11 |
Importance : |
1 vol. (136 p.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-37729-082-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Sujets : |
Crise de l'Enseignement ; Ecole Publique ; Sociologie de l'Education
|
Index. décimale : |
1150 Approche critique, crise de l'éducation, controverses |
Résumé : |
4e de couverture :
« Si l’école recule, ce n’est pas la responsabilité des maths modernes, des méthodes globales, du collège unique, c’est parce que socialement notre pays recule, car nous ne nous battons plus suffisamment pour maintenir ce qui paraissait être des acquis sociaux inébranlables. L’école ne fait que suivre l’abandon de la médecine scolaire, de la formation des enseignants, l’explosion de la précarité des familles et le désintérêt pour la “politique”.
On ne saurait faire l’école sans se soucier de la société qui nous entoure, sans trouver des chaussures au petit Syrien qui arrive, sans chercher des solutions de relogement pour les enfants du bidonville rom, sans s’interroger sur ce qui nous pousse à avoir besoin d’aller dans des magasins le dimanche alors que tout le monde se doute que les enfants des caissières sont à l’abandon pendant ce temps. » |
Public cible : |
Général |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20736 |
Pour une école publique émancipatrice [texte imprimé] / Véronique Decker, Auteur . - Paris : Libertalia, cop. 2019, dl. 2019 . - 1 vol. (136 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( N'autre école; 11) . ISBN : 978-2-37729-082-6 Langues : Français ( fre)
Sujets : |
Crise de l'Enseignement ; Ecole Publique ; Sociologie de l'Education
|
Index. décimale : |
1150 Approche critique, crise de l'éducation, controverses |
Résumé : |
4e de couverture :
« Si l’école recule, ce n’est pas la responsabilité des maths modernes, des méthodes globales, du collège unique, c’est parce que socialement notre pays recule, car nous ne nous battons plus suffisamment pour maintenir ce qui paraissait être des acquis sociaux inébranlables. L’école ne fait que suivre l’abandon de la médecine scolaire, de la formation des enseignants, l’explosion de la précarité des familles et le désintérêt pour la “politique”.
On ne saurait faire l’école sans se soucier de la société qui nous entoure, sans trouver des chaussures au petit Syrien qui arrive, sans chercher des solutions de relogement pour les enfants du bidonville rom, sans s’interroger sur ce qui nous pousse à avoir besoin d’aller dans des magasins le dimanche alors que tout le monde se doute que les enfants des caissières sont à l’abandon pendant ce temps. » |
Public cible : |
Général |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20736 |
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