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J'ai un peu décidé que je serai heureuse / Pascale Gruber
Titre : J'ai un peu décidé que je serai heureuse : survivre, revivre après un attentat et un traumatisme, ét avec l'aide des autres... Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2017 Collection : Liens Sociaux Importance : 1 vol. (26 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : attentat ; Traumatisme ; traumatisme psychique ; victime Résumé : source de l'éditeur :
"Ce jour-là, certains ont eu de la chance, ils ont pris le métro d'avant. Ou, ils cherchaient encore une place dans le parking de Zaventem... Ailleurs, à Paris, à Nice, à Berlin, à Londres ou à Madrid, d'autres hommes, d'autres femmes, comme à Bruxelles, ont été au mauvais endroit, au mauvais moment...
Il y a quelques décennies déjà, leur peuple a été victime d'un génocide. Ils sont Juifs, ils sont Tutsis. Bien sûr, leur histoire diffère fondamentalement de celle des victimes d'attentats. Mais, comme eux, ils ont dû rebâtir et leur chemin nous en apprend beaucoup. Certes, comme le rappelle le Dr Laurence Ayache, psychiatre au Service Social Juif, à Bruxelles, « les traumatismes dus à un génocide ou à un attentat sont spécifiques ou difficilement comparables. Pourtant, certains éléments communs peuvent contribuer à la reconstruction de ces personnes. »
Dans notre société, reconnaît-on les spécificités de ces vies « hors normes » ? Bardés de cicatrices, visibles ou non, les victimes et les proches des attentats de Bruxelles parlent d'une absence de soutien adéquat.
Publié en 2017, un an après les attentats de Bruxelles, la brochure « J'ai un peu décidé que je serai heureuse » évoque le parcours de combattants que mènent les victimes. Mais elle souligne, aussi, les réponses collectives ou individuelles qui pourraient les aider à se reconstruire."
Note de contenu : sommaire :
Le dernier métro. A Paris, à Bruxelles, ou ailleurs
Qui est concerné ? Toi, toi et toi. Mais pas toi
Tu me reconnais ?
Ce que dit la loi, rien que la loi
Hé ho, les autorités ! Y'a quelqu'un ?
Et ça continue, encore et encore
Les victimes se rebellent
Au tribunal du temps, de l'Histoire et de la culture...
On n'est pas tous égaux
Le poids des autres et celui des silences
Une victime moi ? Peut-être mais pas seulement...
Retour sur une société en état de choc
Attention : divisions en vue
L'échappée belle
C'est le premier pas qui compte...
Paroles de ceux qui viennent de loin..
Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20695 J'ai un peu décidé que je serai heureuse : survivre, revivre après un attentat et un traumatisme, ét avec l'aide des autres... [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2017 . - 1 vol. (26 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - (Liens Sociaux) .
Langues : Français (fre)
Sujets : attentat ; Traumatisme ; traumatisme psychique ; victime Résumé : source de l'éditeur :
"Ce jour-là, certains ont eu de la chance, ils ont pris le métro d'avant. Ou, ils cherchaient encore une place dans le parking de Zaventem... Ailleurs, à Paris, à Nice, à Berlin, à Londres ou à Madrid, d'autres hommes, d'autres femmes, comme à Bruxelles, ont été au mauvais endroit, au mauvais moment...
Il y a quelques décennies déjà, leur peuple a été victime d'un génocide. Ils sont Juifs, ils sont Tutsis. Bien sûr, leur histoire diffère fondamentalement de celle des victimes d'attentats. Mais, comme eux, ils ont dû rebâtir et leur chemin nous en apprend beaucoup. Certes, comme le rappelle le Dr Laurence Ayache, psychiatre au Service Social Juif, à Bruxelles, « les traumatismes dus à un génocide ou à un attentat sont spécifiques ou difficilement comparables. Pourtant, certains éléments communs peuvent contribuer à la reconstruction de ces personnes. »
Dans notre société, reconnaît-on les spécificités de ces vies « hors normes » ? Bardés de cicatrices, visibles ou non, les victimes et les proches des attentats de Bruxelles parlent d'une absence de soutien adéquat.
Publié en 2017, un an après les attentats de Bruxelles, la brochure « J'ai un peu décidé que je serai heureuse » évoque le parcours de combattants que mènent les victimes. Mais elle souligne, aussi, les réponses collectives ou individuelles qui pourraient les aider à se reconstruire."
Note de contenu : sommaire :
Le dernier métro. A Paris, à Bruxelles, ou ailleurs
Qui est concerné ? Toi, toi et toi. Mais pas toi
Tu me reconnais ?
Ce que dit la loi, rien que la loi
Hé ho, les autorités ! Y'a quelqu'un ?
Et ça continue, encore et encore
Les victimes se rebellent
Au tribunal du temps, de l'Histoire et de la culture...
On n'est pas tous égaux
Le poids des autres et celui des silences
Une victime moi ? Peut-être mais pas seulement...
Retour sur une société en état de choc
Attention : divisions en vue
L'échappée belle
C'est le premier pas qui compte...
Paroles de ceux qui viennent de loin..
Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20695 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Psychologie (2) 165041 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE - Psychologie (2) 165235 Brochure ESPACE 1 Disponible Alzheimer, changer le regard des intervenants / Pascale Gruber in Bruxelles Santé, n°76 (octobre /décembre 2014)
[article]
Titre : Alzheimer, changer le regard des intervenants Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 9/11 Langues : Français (fre) Sujets : Maladie d'Alzheimer En ligne : http://www.questionsante.org/bs/Alzheimer-Changer-le-regard-des Format de la ressource électronique : site internet Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18331
in Bruxelles Santé > n°76 (octobre /décembre 2014) . - p. 9/11[article] Alzheimer, changer le regard des intervenants [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - 2014 . - p. 9/11.
Langues : Français (fre)
in Bruxelles Santé > n°76 (octobre /décembre 2014) . - p. 9/11
Sujets : Maladie d'Alzheimer En ligne : http://www.questionsante.org/bs/Alzheimer-Changer-le-regard-des Format de la ressource électronique : site internet Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18331
Titre : Comment dire? : pour ouvrir le débat sur la communication en santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé Année de publication : DL 2021 Importance : 1 vol. (18 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : communication ; éducation à la santé ; Promotion de la Santé Résumé : Présentation de l'éditeur :
"Cette brochure a pour but d’ouvrir le dialogue et la réflexion sur la communication en santé. Certes, le débat est loin d’être nouveau. Ainsi, dès sa création il y a quarante ans, Question Santé entendait changer la donne en bouleversant le quasi-monopole d’une communication en provenance presque exclusive du pouvoir médical. Il s’agissait, déjà, de communiquer différemment afin de donner à chacun·e la possibilité de réfléchir à ses comportements de santé. Cet objectif n’a pas bougé d’un iota.
La brochure « Comment dire » interroge :
La pandémie a-t-elle modifié nos pratiques en communication ?
La crise va-t-elle durablement changer nos modes de communication ?
Internet est-il destiné à prendre une place plus grande encore ?
Et dans ce cas, avons-nous la certitude de pouvoir toucher tous nos publics ?"En ligne : https://questionsante.org/wp-content/uploads/2021/12/20211220_broch_commentdire_ [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22105 Comment dire? : pour ouvrir le débat sur la communication en santé [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé, DL 2021 . - 1 vol. (18 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.
Langues : Français (fre)
Sujets : communication ; éducation à la santé ; Promotion de la Santé Résumé : Présentation de l'éditeur :
"Cette brochure a pour but d’ouvrir le dialogue et la réflexion sur la communication en santé. Certes, le débat est loin d’être nouveau. Ainsi, dès sa création il y a quarante ans, Question Santé entendait changer la donne en bouleversant le quasi-monopole d’une communication en provenance presque exclusive du pouvoir médical. Il s’agissait, déjà, de communiquer différemment afin de donner à chacun·e la possibilité de réfléchir à ses comportements de santé. Cet objectif n’a pas bougé d’un iota.
La brochure « Comment dire » interroge :
La pandémie a-t-elle modifié nos pratiques en communication ?
La crise va-t-elle durablement changer nos modes de communication ?
Internet est-il destiné à prendre une place plus grande encore ?
Et dans ce cas, avons-nous la certitude de pouvoir toucher tous nos publics ?"En ligne : https://questionsante.org/wp-content/uploads/2021/12/20211220_broch_commentdire_ [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22105 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Santé (5) 173116 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE - Santé (5) 173179 Brochure ESPACE 1 Disponible Cyber harcèlement : petits meurtres entre "amis" / Pascale Gruber
Titre : Cyber harcèlement : petits meurtres entre "amis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2016 Collection : Exclusion, Inclusion Importance : 1 vol. (25 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : cyberharcèlement ; harcèlement scolaire ; Internet (risques) ; Internet et les Jeunes ; liberté d'expression Résumé : extrait du site de l'éditeur :
"Le cyberharcèlement a le vent en poupe, si bien qu’aujourd’hui tout le monde en a au moins entendu parler.
Selon certaines enquêtes, entre 12 et 18 ans, 1 jeune sur 3 prétendait avoir été sa victime une fois dans sa vie, et 1 sur 5 avouait avoir été un harceleur. Ils étaient entourés par 76% de témoins non impliqués et/ou non réactifs.
Le cyberharcèlement surfe sur la vague des technologies de la communication et de l’information. Parent proche du harcèlement, il va pourtant bien plus loin, se jouant de l’espace et du temps. Ainsi, il permet au harceleur de rester anonyme et de mettre une apparente distance entre lui et sa victime, dont il ne voit pas directement la souffrance. Quant au temps, il ajoute à sa cruauté : souvent, les méfaits du cyberharcèlement gardent indéfiniment une trace sur la toile.
On trouve le cyberharcèlement à tous les coins des réseaux sociaux, à la faveur des sms et autres tweets, par lesquels se répandent les messages humiliants, menaces, insultes, diffusions de rumeurs, d’images intimes, campagnes de dénigrement, etc. Déterminé à frapper au coeur, par idée de vengeance ou parfois, simplement, pour s’amuser, le harceleur se sert aussi de photos ou messages personnels mis en ligne par la victime elle-même, qui parlera alors de viol de sa vie privée. Il ajoute à sa perversité une séduction fanfaronne, du genre : «c’est pour rire», qui a souvent contribué à la banalisation du phénomène. Pourtant, les atteintes du cyberharcèlement impactent tous les aspects de la vie de la victime : santé physique et psychologique, vie sociale, réputation. Souvent, le sentiment d’insécurité, l’anxiété, la honte, l’isolement finissent par faire mouche et par laminer la victime. Dans certains cas, celle-ci ira jusqu’au suicide...
Voici une brochure qui analyse le cyberhacèlement sous tous ses angles. Elle invite au débat avec, entre autres, ces questions : Comment l’aborder, en parler ? Comment le repérer, éviter sa banalisation ? Qu’est-ce qui a permis son expansion dans nos sociétés ? Qui sont les harceleurs ? Les victimes ? Sommes-nous assez informés, vigilants ? Comment faire face, dénoncer, se protéger ? Etc.
Si vous le croisez, ne pas tombez pas dans ses filets – c’est un enjeu sérieux de société !"Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19430 Cyber harcèlement : petits meurtres entre "amis" [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2016 . - 1 vol. (25 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - (Exclusion, Inclusion) .
Langues : Français (fre)
Sujets : cyberharcèlement ; harcèlement scolaire ; Internet (risques) ; Internet et les Jeunes ; liberté d'expression Résumé : extrait du site de l'éditeur :
"Le cyberharcèlement a le vent en poupe, si bien qu’aujourd’hui tout le monde en a au moins entendu parler.
Selon certaines enquêtes, entre 12 et 18 ans, 1 jeune sur 3 prétendait avoir été sa victime une fois dans sa vie, et 1 sur 5 avouait avoir été un harceleur. Ils étaient entourés par 76% de témoins non impliqués et/ou non réactifs.
Le cyberharcèlement surfe sur la vague des technologies de la communication et de l’information. Parent proche du harcèlement, il va pourtant bien plus loin, se jouant de l’espace et du temps. Ainsi, il permet au harceleur de rester anonyme et de mettre une apparente distance entre lui et sa victime, dont il ne voit pas directement la souffrance. Quant au temps, il ajoute à sa cruauté : souvent, les méfaits du cyberharcèlement gardent indéfiniment une trace sur la toile.
On trouve le cyberharcèlement à tous les coins des réseaux sociaux, à la faveur des sms et autres tweets, par lesquels se répandent les messages humiliants, menaces, insultes, diffusions de rumeurs, d’images intimes, campagnes de dénigrement, etc. Déterminé à frapper au coeur, par idée de vengeance ou parfois, simplement, pour s’amuser, le harceleur se sert aussi de photos ou messages personnels mis en ligne par la victime elle-même, qui parlera alors de viol de sa vie privée. Il ajoute à sa perversité une séduction fanfaronne, du genre : «c’est pour rire», qui a souvent contribué à la banalisation du phénomène. Pourtant, les atteintes du cyberharcèlement impactent tous les aspects de la vie de la victime : santé physique et psychologique, vie sociale, réputation. Souvent, le sentiment d’insécurité, l’anxiété, la honte, l’isolement finissent par faire mouche et par laminer la victime. Dans certains cas, celle-ci ira jusqu’au suicide...
Voici une brochure qui analyse le cyberhacèlement sous tous ses angles. Elle invite au débat avec, entre autres, ces questions : Comment l’aborder, en parler ? Comment le repérer, éviter sa banalisation ? Qu’est-ce qui a permis son expansion dans nos sociétés ? Qui sont les harceleurs ? Les victimes ? Sommes-nous assez informés, vigilants ? Comment faire face, dénoncer, se protéger ? Etc.
Si vous le croisez, ne pas tombez pas dans ses filets – c’est un enjeu sérieux de société !"Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19430 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Internet (3) 157142 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE - Internet (3) 157143 Brochure ESPACE 1 Disponible Fin de récré pour la mixité / Pascale Gruber
Titre : Fin de récré pour la mixité : égalité entre les femmes et les hommes Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2017 Importance : 1 vol. (18 p.) Présentation : ill., couv. ill. Langues : Français (fre) Sujets : égalité des sexes ; mixité ; mixité scolaire Résumé : source de l'éditeur :
"En 1970, lorsque la mixité s’est progressivement imposée à l'école jusqu’à devenir obligatoire, on pensait avoir franchi une étape importante dans le processus égalitaire des genres. Près de 50 ans plus tard, malgré plusieurs générations éduquées dans la mixité, force est de constater que filles et garçons ne bénéficient toujours pas des mêmes chances. Pourquoi la mixité scolaire n’a-t-elle pas produit les effets attendus ?
Les résultats de plusieurs analyses démontrent que les professeurs perpétuent les stéréotypes de genre au travers de leur enseignement. Ils sembleraient penser que les filles réussissent mieux que les garçons non pas grâce à leurs talents ou capacités mais grâce à leur rigueur dans le travail. Si le système scolaire mixte ne profite pas aux filles, l’inverse n’est pas vrai pour les garçons qui ont de meilleurs résultats dans des groupes mixtes que dans des groupes exclusivement masculins.
Les pionniers se sont-ils trompés de combat lorsqu’ils ont imposé l’idée de la mixité à l’école ? Faudrait-il la supprimer ou se contenter de former les enseignants à la thématique ? L’idéal serait-il une solution entre deux : donner certains cours (les mathématiques, les sciences, les langues) séparément ?
La non-mixité n’est pas une revendication qui se cantonne au milieu scolaire. Selon les féministes engagées, les activités non-mixtes représentent un outil politique destiné à permettre l’émancipation du genre opprimé. La séparation serait-elle la solution ? Mènerait-elle à une véritable égalité hommes-femmes ? Au contraire, annoncerait-elle davantage de divisions, d’incompréhensions, de rejets, de luttes de pouvoir ?
Pour alimenter le débat, la brochure Fin de récré pour la mixité s’appuie sur :
« Les garçons, ils sont trop bêtes ! »
Petit détour parlant (et par la langue)
Les filles ont (le) mauvais genre
Parce qu’ils/elles y croyaient
Sauvée par l’argent !
La révolution n’est pas passée par là
Une recette qui ne marche pas
Et ça continue encore et encore…
Mixité : la récré est finie
T’es pas de ma bande
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20189 Fin de récré pour la mixité : égalité entre les femmes et les hommes [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2017 . - 1 vol. (18 p.) : ill., couv. ill.
Langues : Français (fre)
Sujets : égalité des sexes ; mixité ; mixité scolaire Résumé : source de l'éditeur :
"En 1970, lorsque la mixité s’est progressivement imposée à l'école jusqu’à devenir obligatoire, on pensait avoir franchi une étape importante dans le processus égalitaire des genres. Près de 50 ans plus tard, malgré plusieurs générations éduquées dans la mixité, force est de constater que filles et garçons ne bénéficient toujours pas des mêmes chances. Pourquoi la mixité scolaire n’a-t-elle pas produit les effets attendus ?
Les résultats de plusieurs analyses démontrent que les professeurs perpétuent les stéréotypes de genre au travers de leur enseignement. Ils sembleraient penser que les filles réussissent mieux que les garçons non pas grâce à leurs talents ou capacités mais grâce à leur rigueur dans le travail. Si le système scolaire mixte ne profite pas aux filles, l’inverse n’est pas vrai pour les garçons qui ont de meilleurs résultats dans des groupes mixtes que dans des groupes exclusivement masculins.
Les pionniers se sont-ils trompés de combat lorsqu’ils ont imposé l’idée de la mixité à l’école ? Faudrait-il la supprimer ou se contenter de former les enseignants à la thématique ? L’idéal serait-il une solution entre deux : donner certains cours (les mathématiques, les sciences, les langues) séparément ?
La non-mixité n’est pas une revendication qui se cantonne au milieu scolaire. Selon les féministes engagées, les activités non-mixtes représentent un outil politique destiné à permettre l’émancipation du genre opprimé. La séparation serait-elle la solution ? Mènerait-elle à une véritable égalité hommes-femmes ? Au contraire, annoncerait-elle davantage de divisions, d’incompréhensions, de rejets, de luttes de pouvoir ?
Pour alimenter le débat, la brochure Fin de récré pour la mixité s’appuie sur :
« Les garçons, ils sont trop bêtes ! »
Petit détour parlant (et par la langue)
Les filles ont (le) mauvais genre
Parce qu’ils/elles y croyaient
Sauvée par l’argent !
La révolution n’est pas passée par là
Une recette qui ne marche pas
Et ça continue encore et encore…
Mixité : la récré est finie
T’es pas de ma bande
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20189 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Droits des femmes (5) 160792 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE : Droits des femmes (5) 160791 Brochure ESPACE 1 Disponible Gammes, le chaînon manquant / Pascale Gruber in Bruxelles Santé, n°80 (octobre /décembre 2015)
PermalinkGaspillage alimentaire...sans moi! / Sandrine Pequet
PermalinkPermalinkHa je ris (/je pleure) : de me voir si belle (si moche) en ce miroir... / Pascale Gruber
PermalinkPermalink"Je ne suis pas un zéro" : chronique d'un phénomène : le harcèlement à l'école / Pascale Gruber
PermalinkPermalinkMais la graine, elle est où : parler (ou pas) sexualité à ses enfants, quel programme ! / Pascale Gruber
PermalinkLes nouvelles couleurs de la fin de vie / Pascale Gruber in Bruxelles Santé, n°78 (avril /juin 2015)
PermalinkParentalité et adoption : ce qu'apprennent aux autres parents ceux qui ont choisi d'adopter / Eric Yvergneaux
PermalinkQuand la population de Belgique dit "33" : dossier / Pascale Gruber in Bruxelles Santé, n°78 (avril /juin 2015)
PermalinkSanitaires à l'école : levons le tabou ! : actes du séminaire de réflexion et d'échanges / Pascale Gruber
PermalinkL'école et ses "fondament'eaux" / Virginie Roth
Permalink"Tiens, je ne me/je ne te voyas pas comme ça..." / Pascale Gruber
Permalink